En rentrant chez moi ce soir, je suis tombée sur un mail qu'une personne très généreuse m'a envoyé (qui se reconnaitra et à qui je dis MERCI), et ce mail comportait un certains nombres de textes , et je souhaite te faire partagé à toi qui lit mon blog deux de ces magnifiques textes.
Voici le premier
Oser...
(Auteur inconnu)
Rire, c'est risquer de paraître idiot.
Pleurer, c'est risquer de paraître sentimental.
Aller vers quelqu'un, c'est risquer de s'engager.
Exposer ses sentiments, c'est risquer d'exposer son Moi profond.
Présenter ses idées, ses rêves à la foule, c'est risquer de les perdre.
Aimer, c'est risquer de ne pas être aimé en retour.
Vivre, c'est risquer de mourir.
Espérer c'est risquer de désespérer.
Essayer, c'est risquer d'échouer.
Mais il faut prendre des risques, car le plus grand danger dans la vie, c'est de ne rien risquer du tout.
Celui qui ne risque rien ne fait rien, n'a rien, n'est rien.
Il peut éviter la souffrance et la tristesse, mais il n'apprend rien, ne ressent rien, ne peut ni changer ni se développer, ne peut ni aimer ni vivre.
Enchaîné par sa certitude, il devient esclave, il abandonne sa liberté.
Seuls ceux qui risquent sont libres.
Et le second :
Autobiographies en cinq chapitres.
(Portia Nelson)
I
Je marche dans la rue.
Il y a un grand trou dans le trottoir.
Je tombe dedans.
Je suis perdue... Impuissante.
Ce n'est pas ma faute.
Il me faut une éternité pour en sortir.
II
Je marche dans la même rue.
Il y a un grand trou dans le trottoir.
Je fais semblant de ne pas le voir.
Je retombe dedans.
Je n'arrive pas à croire que je suis au même endroit.
Mais ce n'est pas ma faute.
Il me faut encore longtemps pour en sortir.
III
Je marche dans la même rue.
Il y a un grand trou dans le trottoir.
Je le vois bien.
Je tombe dedans... c'est une habitude.
J'ai les yeux ouverts.
Je sais où je suis.
C'est ma faute.
J'en sors immédiatement.
IV
Je marche dans la même rue.
Il y a un grand trou dans le trottoir.
J'en fais le tour.
V
Je prends une autre rue.
Voîlà j'espère que ces petits textes vous parlerons autant qu'à moi. Merci encore de me les avoir fait découvrir.